
Durant la Semaine sainte, nous avons communié au grand cri de Jésus sur la croix: « J’ai soif ». Mais il a soif de quoi et de qui, si ce n’est d’amour et de nous. Comment étancher cette soif divine si nous ne sommes pas affectés par les fléaux sociaux, les suicides, la pédophilie, les viols, les guerres, les trahisons, les tortures, les maladies, les injustices, les foyers brisés, les meurtres, les attentats terroristes? Jésus a tout pris sur lui dans sa passion et sa résurrection : la misère humaine, les cris du monde, le sang répandu de tant d’innocents. Le témoignage d’Arnaud Beltrame L’échec n’a plus le dernier mot depuis la mise au tombeau du Fils de Dieu. Avec lui, qui perd, gagne. Il a vaincu la mort par sa résurrection, il nous accompagne dans tous nos passages. Nous prenons le parti de la vie en tenant le pari...